Fighting a common enemy: a catalyst to close intractable safety gaps

Source : BMJ Quality & Safety, 1 février 2021.
La pandémie de COVID-19 a plusieurs conséquences sur le système de santé. Nous constatons quelques premiers effets positifs à court terme dans certains domaines de sécurité où la pandémie COVID-19 a apporté une nouvelle lueur d’espoir. À ce jour, plusieurs changements sont intervenus dans des domaines liés à la sécurité, notamment l’adoption des principaux attributs de la culture de la sécurité (transparence, communication et collaboration) et la mise en œuvre rapide de pratiques de sécurité pour soigner le personnel de santé auparavant souvent négligé. L’adoption rapide de ces stratégies démontre le potentiel de diverses parties prenantes ayant des intérêts divergents à se rallier contre un ennemi commun, en l’occurrence un virus mortel.

La recherche en santé et sécurité au travail en France

Source : Références en santé au travail.
Le premier objectif de cette approche est de faire un inventaire des principaux acteurs du domaine en France, qu’ils soient issus du monde académique, des établissements de santé, des services de santé au travail ou d’établissements plus finalisés. Le second objectif consiste à étudier les principales caractéristiques des travaux publiés : quelle approche ? Quel sujet de recherche en termes d’agent agresseur ou de pathologie ? Quelle population de travailleurs ciblée par ces travaux ? Un peu plus de mille publications dans le domaine de la santé au travail ont été analysées.

Explaining workers’ resistance against a health and safety programme: An understanding based on hierarchical and social accountability

Source : Safety Science.
Le phénomène apparemment paradoxal de la résistance des travailleurs aux mesures de santé et de sécurité a été expliqué de diverses manières, par exemple par la pression de la production ou de l’efficacité, les comportements à risque ou les cultures de sécurité problématiques. Cet article aborde la question de la résistance mais l’analyse à travers le prisme de la responsabilité hiérarchique et sociale. Dans une étude de cas d’une papeterie suédoise, un programme de santé et de sécurité se heurte à la résistance des travailleurs, même s’il bénéficie du soutien du syndicat local. Cette résistance s’explique par la forme socialisante de la responsabilité qui conditionne la façon dont les travailleurs perçoivent la santé et la sécurité au travail. Les aspects de l’identité, de la facilitation et de la visibilité du travail sont identifiés et compris en termes de responsabilité. Qui vous êtes, comment vous effectuez votre travail et ce qui est visualisé est filtré et évalué par le biais de relations horizontales plutôt qu’en termes de responsabilité hiérarchique envers l’entreprise.

Pleins feux sur les leaders en SST

Source : Objectif prévention, novembre 2020.
Les prix Leaders en SST de l’ASSTSAS visent à souligner l’engagement exceptionnel de personnes qui contribuent à l’amélioration de la santé et de la sécurité des travailleurs dans le cadre de leurs activités de travail. Nous vous présentons l’ensemble des candidats de la 12e édition du concours, tous aussi inspirants les uns que les autres.

Que sont donc les « risques prédominants »?

Source : Convergence SST.
Un nouvel ajout au vocabulaire de la SST est apparu au printemps dernier avec la publication de la Planification pluriannuelle en prévention-inspection 2020-20231 de la CNESST : le terme « risques prédominants ». Mais que sont les risques prédominants? Et en quoi ont-ils des conséquences sur la gestion de la santé et de la sécurité dans nos entreprises? Suivez le guide pour une meilleure compréhension de ce nouveau venu!

Alerte sur cinq risques prédominants en SST

Source : Convergence SST.
La présente édition de la revue Convergence SST s’attarde aux cinq « risques prédominants » cernés par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) dans sa plus récente planification pluriannuelle. Les risques ergonomiques, les chutes de même niveau, être frappé (ou encore coincé ou écrasé) par un objet ou de l’équipement, l’exposition au bruit de même que la dégradation de la santé psychologique forment les cinq risques prédominants. Ils représen-tent à eux seuls environ les deux tiers des lésions professionnelles acceptées par la CNESST.

‘Stat’ workflow modifications to expedite care after needlestick injuries

Source : Occupational Medicine.
La prophylaxie post-exposition (PEP) pour le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est recommandée pour commencer dans les heures qui suivent une blessure par piqûre d’aiguille (NSI) chez les travailleurs de la santé (HCW). Les délais associés à l’attente des résultats des tests du patient source (dont le sang a été impliqué dans l’INS) peuvent entraîner des conséquences psychologiques pour le travailleur de la santé exposé ainsi que des toxicités symptomatiques de la PPE empirique.

Leadership styles and leadership outcomes in nursing homes: a cross-sectional analysis

Source : BMC Health Services Research.
Bien que le leadership soit considéré comme un facteur clé dans les soins de santé, les styles de leadership et les résultats dans les maisons de retraite restent souvent une boîte noire. C’est pourquoi cette étude a examiné les styles de leadership et les résultats de leadership des infirmières en chef et des directeurs de soins infirmiers dans les maisons de soins infirmiers sur la base de concepts de leadership bien définis.

La diligence raisonnable et la prise en charge de la santé et sécurité du travail

Source : Convergence SST.
Les débuts et fins d’année sont souvent des moments privilégiés par les entreprises pour effectuer un bilan des lésions professionnelles. Cette démarche peut mener un employeur à se questionner sur la stratégie la plus efficace à adopter pour assumer ses obligations légales en santé et sécurité du travail (SST).

Les troubles musculo-squelettiques liés au travail : un fardeau humain et économique évitable

Source : INSPQ
Depuis 40 ans, le visage du travail au Québec a changé. Au Québec, les secteurs non priorisés pour la prévention, tels que les services et des commerces, rassemblent 75 % de l’ensemble de la main-d’œuvre québécoise et 85 % de la main-d’œuvre féminine. Un travailleur québécois sur quatre rapporte des TMS importants au cours d’un an. La grande majorité des travailleurs touchés par les TMS œuvre dans des secteurs non prioritaires et n’a pas accès aux mécanismes de prévention prévus par la loi actuelle.