Neurocognitive impairment in night and shift workers: a meta-analysis of observational studies

Source : Occupational and Environmental Medicine.
Le travail posté est un élément essentiel du travail moderne, assurant des conditions de service idéales pour l’économie et la société d’aujourd’hui. Malgré ses propriétés bénéfiques, son impact sur les performances neurocomportementales des sujets exposés reste controversé. Cette méta-analyse visait à fournir les premiers effets de synthèse concernant l’association entre l’exposition au travail posté et différentes fonctions cognitives.

Neurocognitive impairment in night and shift workers: a meta-analysis of observational studies

Source : Occupational and Environmental Medicine.
Le travail posté est un élément essentiel du travail moderne, assurant des conditions de service idéales pour l’économie et la société d’aujourd’hui. Malgré ses propriétés bénéfiques, son impact sur les performances neurocomportementales des sujets exposés reste controversé. Cette méta-analyse visait à fournir les premiers effets de synthèse concernant l’association entre l’exposition au travail posté et différentes fonctions cognitives.

Sleepiness and safety at work among night shift NHS nurses

Source : Occupational Medicine.
La somnolence associée au travail de nuit est connue pour avoir des effets négatifs sur la santé et le bien-être des travailleurs. Elle a été associée à des résultats négatifs en matière de sécurité et est reconnue comme un risque professionnel chez les travailleurs de la santé. Cette étude avait pour but d’évaluer la prévalence de la somnolence autodéclarée chez les infirmières et les sages-femmes travaillant la nuit. Cette étude a également exploré les conséquences de la somnolence sur la sécurité au travail et au volant.

Shift rotation scheme, sleepiness and sleep quality in night-shift workers

Source : Occupational Medicine.
Les schémas de rotation des équipes peuvent influencer la tolérance des travailleurs au travail de nuit et son impact sur la santé.Cette étude visait à évaluer l’influence des schémas de rotation des équipes sur la somnolence et la qualité du sommeil.

Length of exposure to long working hours and night work and risk of sickness absence: a register-based cohort study

Source : BMC Health Services Research.
Il existe des preuves contradictoires que les longues heures de travail et le travail de nuit sont des facteurs de risque d’absence pour cause de maladie, mais peu d’études ont considéré la variation de la durée de la fenêtre temporelle d’exposition comme une source potentielle de résultats mitigés. Nous avons examiné si l’association entre les longues heures de travail et le travail de nuit et l’absence pour cause de maladie dépendait de la durée d’exposition aux caractéristiques des heures de travail.

Women’s health and night shift work: Potential targets for future strategies in breast cancer (Review)

Source : Biomedical Reports.
Le cancer du sein est la principale cause de cancer associé (sic) chez les femmes dans le monde. Plusieurs études ont montré que les facteurs individuels, environnementaux et professionnels peuvent jouer un rôle important dans l’apparition du cancer du sein ; bien que la majorité des études aient démontré cette association et que plusieurs études aient examiné les voies biologiques, il est impossible de décrire avec certitude la relation de cause à effet qui implique la perturbation du rythme circadien et la dérégulation de la mélatonine avec les processus oncogènes. Au fil des ans, grâce à l’introduction d’outils de dépistage plus efficaces, on a assisté à une augmentation de l’incidence du cancer du sein ainsi qu’à une diminution de l’âge du diagnostic. Par la suite, un nombre croissant de personnes ont obtenu des soins à un plus jeune âge, ce qui signifie qu’après la chirurgie et la chimiothérapie, ces travailleurs ont dû retourner au travail. À la lumière de ces changements paradigmatiques, l’objectif de la présente revue était d’identifier les cibles potentielles des futures stratégies organisationnelles qui devraient être adoptées sur le lieu de travail par les médecins du travail, tant pour la prévention que pour le processus de retour au travail des femmes actives ayant souffert d’un cancer du sein.

Prévention des risques liés au travail de nuit, un colloque de l’INRS. Conférence en ligne, 11 mars 2021

Source : Références en santé au travail, 2021-06.
Lors de ce colloque, la présentation des avancées de la recherche en chronobiologie a permis de mieux comprendre les facteurs mis en cause dans l’impact du travail de nuit chez les salariés et, ainsi, d’explorer des pistes de prévention.

Colloque Prévention des risques liés au travail de nuit

Source : INRS
Le 11 mars 2021, L’INRS diffusait sur Internet un colloque ayant pour objectif de présenter les connaissances acquises en chronobiologie afin de faire progresser la prévention en entreprises. Les vidéos et les présentations du colloque sont maintenant disponibles en ligne.

National Toxicology Program Cancer Hazard Assessment Report on Night Shift Work and Light at Night

Source : National Toxicology Program
Le NTP a utilisé des méthodes d’examen systématique et des critères établis pour parvenir à ses conclusions sur les risques de cancer, à savoir que (1) le travail de nuit persistant peut provoquer un cancer du sein chez les femmes et (2) certaines conditions d’éclairage peuvent être liées au cancer.

Recent News about Night Shift Work and Cancer: What Does it Mean for Workers?

Source : NIOSH Science Blog
Le National Toxicology Program (NTP) a récemment publié un rapport sur le lien entre le travail de nuit persistant et le risque de cancer. Ce rapport fait suite à une évaluation similaire publiée en juillet 2019 par le Centre international de recherche sur le cancer. Les deux agences ont examiné les études existantes sur le travail de nuit et le cancer et ont toutes deux convoqué des experts dans les domaines de la recherche humaine, animale et des sciences fondamentales. Dans le récent rapport du NTP, il a été conclu qu’il existe une « confiance élevée » dans le fait que le travail de nuit persistant qui entraîne une perturbation circadienne peut causer le cancer chez l’homme, et le CIRC a conclu que le travail de nuit est « probablement cancérogène pour l’homme. »