Surveillance de la santé

A COVID-19-ready public health surveillance system: The Food and Drug Administration’s Sentinel System

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Source : Pharmacoepidemiology and Drug Safety.
Le système Sentinel de la Food and Drug Administration (FDA) a été mis en place en 2009 afin d’utiliser les données de santé électroniques collectées régulièrement pour améliorer la capacité nationale à évaluer la sécurité des produits médicaux après leur mise sur le marché. En plus d’une décennie, Sentinel est devenu une partie intégrante des capacités de surveillance de la FDA et a été utilisé pour effectuer des analyses qui ont contribué aux décisions réglementaires. Le rôle de la FDA dans la réponse à la pandémie COVID-19 a nécessité une expansion et une amélioration de Sentinel. Nous décrivons ici comment le système Sentinel a soutenu la réponse de la FDA à la pandémie de COVID-19. Nous soulignons les nouvelles capacités développées, les principales données générées à ce jour et les leçons apprises, notamment en ce qui concerne le travail avec les données des dossiers médicaux électroniques des patients hospitalisés.

Workers’ compensation claims among private skilled nursing facilities, Ohio, 2001–2012

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Source : American Journal of Industrial Medicine.
Les établissements de soins de longue durée ont l’un des taux les plus élevés d’accidents du travail et de maladies professionnelles parmi toutes les industries. La compréhension des détails entourant les accidents et les expositions qui occasionnent des lésions indemnisées peut aider à mieux aligner les efforts de prévention, comme l’intégration de politiques de déplacement sécuritaire des patients et des appareils de levage, l’amélioration des pratiques d’entretien ménager et la formation des employés dans ces établissements afin de prévenir les blessures et de réduire les dépenses connexes. Cette étude quantifie la charge des accidents du travail et des maladies professionnelles dans ce secteur en utilisant les données d’un système d’indemnisation des travailleurs d’un seul État, de 2001 à 2012. Le surmenage et les réactions corporelles, ainsi que les chutes et glissades ont représenté 85 % des 10 793 demandes d’indemnisation pour perte de temps de travail.