Symptoms of Mental Health Conditions and Suicidal Ideation Among State, Tribal, Local, and Territorial Public Health Workers

Source : MMWR. Morbidity and Mortality Weekly Report.
En 2021, les travailleurs de la santé publique ont signalé des niveaux élevés de symptômes d’au moins un problème de santé mentale (dépression, anxiété ou syndrome de stress post-traumatique [SSPT]). Une enquête menée en 2022 auprès de 26 069 travailleurs de la santé publique a montré qu’une prévalence plus élevée de SSPT était associée à un plus grand nombre d’heures de travail hebdomadaires et à davantage de temps consacré aux activités d’intervention dans le cadre de l’enquête COVID-19. La plupart (75,5 %) des répondants ne pensaient pas que leur employeur augmentait le soutien à la santé mentale. Pour soutenir la santé mentale des travailleurs de la santé publique, les agences de santé publique peuvent modifier les facteurs liés au travail, notamment en apportant des changements organisationnels pour les interventions d’urgence et en facilitant l’accès aux ressources et services de santé mentale.

Bill named for doctor who died by suicide during pandemic clears Senate

Source : Safety & Health.
Washington – Le Sénat a adopté le 17 février une loi visant à prévenir le suicide, à réduire l’épuisement professionnel et à traiter les problèmes de santé mentale et comportementale chez les professionnels de la santé.

Suicide among Health Care Professionals—An Indian Perspective

Source : Healthcare.
Le suicide est un phénomène mondial qui coûte la vie à une personne toutes les 40 s. Le taux de mortalité par suicide en Inde est plus élevé que la moyenne mondiale pour les professionnels de la santé (PSS). L’écart de traitement pour les soins de santé mentale est alarmant, plus de 80% en Inde qui s’est amélioré par rapport à une décennie.

Who Cares What the Doctor Feels: The Responsibility of Health Politics for Burnout in the Pandemic

Source : Healthcare.
Cet article souligne la nécessité pour les politiques de santé de prendre la responsabilité de traiter l’épuisement professionnel chez les travailleurs de la santé avec une nouvelle approche qui devrait aider les médecins à reconnaître, comprendre et gérer le stress lié au travail avec un soutien supplémentaire en cas de pandémie.

Performing a psychiatric inpatient bathroom evaluation

Source : Health Facilities Management.
Les salles de bains des patients sont les espaces les plus dangereux d’une unité d’hospitalisation psychiatrique. Dans cet environnement riche en cibles, il existe un risque élevé de tentatives de suicide, d’achèvement du suicide et d’altération du matériel, de la plomberie et des accessoires afin d’obtenir des armes pour se blesser ou blesser autrui. C’est également un endroit où il est facile d’être cité par les organismes de réglementation pour des problèmes de sécurité des patients et de risque de ligature. De telles citations sont coûteuses, prennent beaucoup de temps et peuvent faire courir à l’ensemble de l’hôpital le risque de perdre les capacités de remboursement de Medicare et Medicaid. De nombreux hôpitaux ont été cités en tant que « danger immédiat pour la vie » pour des citations de ligatures.

Suicide Prevention for Healthcare Workers

Source : NIOSH Science Blog
Les travailleurs de la santé ont toujours été exposés à un risque de suicide disproportionné. La pandémie de COVID-19 a également eu un impact majeur sur les travailleurs de la santé en première ligne et sur les travailleurs de la santé publique. Les lieux de travail peuvent jouer un rôle clé dans la protection et la promotion de la santé mentale et du bien-être et contribuer à la prévention du suicide.

Developing a suicide postvention framework for staff in primary healthcare

Source : Occupational Medicine.
Le décès soudain d’un collègue de travail est susceptible d’être choquant, bouleversant et déstabilisant. Le terme « postvention du suicide » désigne les mesures prises au sein d’une organisation pour fournir un soutien et une assistance après un décès par suicide de manière efficace et sensible. Bien qu’elles soient sans aucun doute utiles, les lignes directrices existantes en la matière visent généralement les grandes organisations, où le soutien des ressources humaines et les conseils personnels sont souvent disponibles. Les petites entreprises, comme les cabinets de soins de santé primaires, peuvent ne pas avoir accès à un tel soutien et peuvent donc rencontrer des difficultés particulières après le décès par suicide d’un collègue.

Responding to the death by suicide of a colleague in Primary Care: A Postvention Framework

Source : The Society of Occupational Medicine; The Louise Tebboth Foundation
Ce rapport fournit un cadre pour soutenir les organisations de soins primaires après le décès par suicide d’un collègue. Il s’appuie à la fois sur des entretiens avec des personnes travaillant dans des cabinets de médecins généralistes et ayant eu une expérience personnelle d’un décès par suicide au sein de leur équipe, et sur un examen des meilleures pratiques d’autres organismes. Des conseils sont donnés sur les questions qui sont susceptibles de nécessiter une attention particulière au cours du premier jour, de la première semaine et du premier mois suivant le décès par suicide d’un collègue. Le soutien qui serait nécessaire est identifié, ainsi que les actions requises par les organismes externes.