Masks Do More Than Protect Others During COVID-19: Reducing the Inoculum of SARS-CoV-2 to Protect the Wearer

Source avec lien : Journal of General Internal Medicine, , 7/31/2020. 10.1007/s11606-020-06067-8

Bien que l’avantage du masquage facial public au niveau de la population pour protéger les autres pendant la pandémie COVID-19 ait reçu beaucoup d’attention, nous discutons pour une des premières fois l’hypothèse que le masquage universel réduit l' »inoculum » ou la dose du virus pour le porteur du masque, ce qui conduit à des manifestations d’infection plus bénignes et asymptomatiques. Les masques, selon leur type, filtrent la majorité des particules virales, mais pas toutes. Nous commençons par examiner la littérature quasi centenaire sur l’inoculum viral et la gravité de la maladie (conceptualisée comme la DL50 ou dose létale du virus). Nous donnons des exemples de taux croissants d’infection asymptomatique avec masquage au niveau de la population, y compris dans des environnements fermés (par exemple, les bateaux de croisière) avec et sans masquage universel. Les infections asymptomatiques peuvent être néfastes pour la propagation mais pourraient en fait être bénéfiques si elles entraînent des taux d’exposition plus élevés. Exposer la société au CoV-2 du SRAS sans les conséquences inacceptables d’une maladie grave avec masquage public pourrait conduire à une plus grande immunité au niveau de la communauté et à une propagation plus lente dans l’attente d’un vaccin. Cette théorie de l’inoculum viral et de la maladie bénigne ou asymptomatique avec le CoV-2 du SRAS à la lumière du masquage au niveau de la population a reçu peu d’attention, c’est donc l’une des premières perspectives pour discuter des preuves qui soutiennent cette théorie.

Although the benefit of population-level public facial masking to protect others during the COVID-19 pandemic has received a great deal of attention, we discuss for one of the first times the hypothesis that universal masking reduces the “inoculum” or dose of the virus for the mask-wearer, leading to more mild and asymptomatic infection manifestations. Masks, depending on type, filter out the majority of viral particles, but not all. We first discuss the near-century-old literature around the viral inoculum and severity of disease (conceptualized as the LD50 or lethal dose of the virus). We include examples of rising rates of asymptomatic infection with population-level masking, including in closed settings (e.g., cruise ships) with and without universal masking. Asymptomatic infections may be harmful for spread but could actually be beneficial if they lead to higher rates of exposure. Exposing society to SARS-CoV-2 without the unacceptable consequences of severe illness with public masking could lead to greater community-level immunity and slower spread as we await a vaccine. This theory of viral inoculum and mild or asymptomatic disease with SARS-CoV-2 in light of population-level masking has received little attention so this is one of the first perspectives to discuss the evidence supporting this theory.

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