Comment améliorer la prise en compte du risque chimique et de la prévention des cancers professionnels dans la normalisation des machines ?

Source avec lien : Hygiène et sécurité au travail, (261), 2020-12.

Le risque chimique est peu abordé dans les «normes machines», notamment pour des raisons techniques. Les constructeurs hésitent souvent à intégrer ce risque dans la phase de conception de leurs machines. Le risque chimique, notamment en lien avec les substances cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR), est moins «visible» que le risque mécanique. Dans ces conditions, il devient difficile pour les experts normalisation de définir les exigences de santé et de sécurité pour les différentes phases de vie du produit. La nécessité de caractériser l’exposition dans les ambiances de travail est fondamentale, afin de verrouiller au mieux les exigences normatives de test pour les fabricants, en tenant compte des utilisateurs.

Le risque chimique est peu abordé dans les «normes machines», notamment pour des raisons techniques. Les constructeurs hésitent souvent à intégrer ce risque dans la phase de conception de leurs machines. Le risque chimique, notamment en lien avec les substances cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR), est moins «visible» que le risque mécanique. Dans ces conditions, il devient difficile pour les experts normalisation de définir les exigences de santé et de sécurité pour les différentes phases de vie du produit. La nécessité de caractériser l’exposition dans les ambiances de travail est fondamentale, afin de verrouiller au mieux les exigences normatives de test pour les fabricants, en tenant compte des utilisateurs.

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